La fin, c'est le début de quelque chose différent. La mort d'un patient en état comateux n'est pas nécessaire si on lui aide se bouger

Cette aide n'est pas la nourriture qu'on donne le patient sans qu'on lui donne la possibilité de se bouger. La nourriture qui vient par la bouche peut aider la personne de se bouger.

Car il faut des mouvements pour avaler et digérer la nourriture. La nourriture qui n'est pas naturelle, mais qui n'est que chimique, est pour le patient en état comateux du poison et une manière de stimuler l'état comateux.

Car ces substances chimique, qui ne viennent pas d'une manière normale - par la bouche - dans le corps, font que le système du patient ne peut pas se normaliser.

Un système peut seulement se normaliser si ce système peut fonctionner normal et ce n'est pas le cas si on ne lui donne pas la chance de fonctionner normal. Pour pouvoir fonctionner normal, le fonction normal doit être stimuler.

Avoir peur, que le patient mort, quand on ne lui laisse pas au lit, ne lui laisse pas en connexion avec des appareil pour nourriture, respiration ou autres, fait qu'un fonction normal ne peut pas s'installer.

La peur, que le patient mort, fait que le patient meurt sans avoir pu dire à ses amours qu'il les aime plus que sa propre vie. Le patient, qui mort à cause d'un pneumonie ou decubitus, aurait pu vivre si on lui avait aidé de se bouger.