On invite des amis de venir boire quelque chose. Pendent la journée ça peut être du thé ou du caffée, le soir c'est plustôt du vin.
La personne qui ne supporte pas d'alcool ou qui n'aime pas l'alcool peut accepter l'invitation s'il y aura des boisons non-alcoolisés.
En Pologne il y avait un temps que presque tous les étudients buvaient de l'alcool et l'étrangère qui ne buvait pas d'alcool ne voulait pas payer les boisons alcoolisés pour les autres.
La fête n'était pas une fête plein de joy pour cette personne. Pas capable de parler avec les Polonais, qui ne pouvaient pas parler ni le français, l'allemand ou l'anglais ou néerlandais et ne pas pouvoir parler le polonais ou la russe, il s'y avait pas autre chause à faire qu'à chanter.
Les Polonais chantaient tout le soir mais les Hollandais ne savait pas des chanson. Ils connaissaient des chansons Sinterklaas, qu'on apprend avant qu'on a cinq ans.
Ne pas pouvoir se souvenir des chansons est le résultat d'une expérience douloureux dans laquelle la personne ne pouvait pas autrement que réagir avec silence.
Le silence qui suit des mensonge, parce qu'on ne comprend pas que la vérité est déniée, a coupé la possibilité à parler quand cette personne est émotionelle.
Le silence est nécessaire pour pouvoir écouter si la personne n'a pas la possibilité de parler quand elle est émotionelle. La possibilité de parler en situations émotionales peut être regagné par écrire se qu'on ne peut pas dire.
Si on l'écrit et envoye à la personne à qui on voulait parler, le message est liberé et on peut obtenir une réponse.
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