devant ma fenêtre sont la surprise qui m’est promis hier. L’univers, dieu, m’a donnée l’idée que quelque chose agréable passerait aujourd’hui.

Et la surprise était superbe! Quand je me suis lever et viens sur le balcon je vois des plantes fleuris devant ma fenêtre ouverte.

Ce sont les plantes de mes voisins qui étaient placées sur un petit escalier de plantes dans le troisième coin du balcon.

Maintenant ils sont placés autour de la table qui est placée devant la fenêtre de ma deuxième chambre.

Ma deuxième chambre n’est pas encore installée parce que le voisin se met avant pour fumer ces cigarettes.

Il n’a pas le droit de fumer dans la maison et il doit se mettre le plus loin possible de sa propre maison. Il habite derrière moi. Nous avons la même porte d’entrée et au début on se tutoyait.

Depuis que je ne fais plus ce que la voisine veut que je fais, elle ne veut plus me tutoyer, mais elle oublie ça, quand elle est fâchée.

Elle était fâchée parce que je m’avais assit sur le balcon avant ma fenêtre après que j’avais déplacé sa table avec les 2 chaises. Je les avais mis dans le troisième coin où étaient placé ces fleures.

L’idée de déplacer sa table et les 2 chaises j’ai eu parce qu’elle déplaçait chaque fois mes lis oranges. Ils n’avaient pas encore des fleures oranges et je voulais voir le procès de colorant de la fenêtre de ma première chambre.

Ma première chambre est petite, et a la connexion avec la douche. La propriétaire trouve, que la deuxième chambre soit être la chambre à coucher, mais cette chambre n’a pas une espace privât qu’on peut utiliser pour venir dans la douche.

Il faut passer le corridor, que les voisins utilisent aussi. Et ce sont ces voisins, qui ne veulent pas que moi, je peux m’asseoir avant la fenêtre de ma deuxième chambre.

J’avais déplacé la table pour lui faire clair, qu’il y a ce troisième coin sur le balcon, ou il y a beaucoup de soleil, le plus longtemps en fait et s’ils se mettent sur cette place avec sa table, j’aurai le moindre fumée des cigarettes du voisin dans mes chambres.

La voisine dit que je provoque et moi, j’ai l’idée c’est elle qui le fait. En tout cas, je n’ai pas envie de faire de la guerre, alors je m’ai mis à coté des ces fleurs en de temps en temps je regarde à droite, où ils sont placées.

La droite est la coté de famille. Si on a toujours des problèmes à la coté droite, on peut se demander quelle problème de famille on essaye de ne pas voir.

Chaque famille a ces problèmes spéciaux. Le thème est toujours la mobilité qui n’est pas juste. Soit il y a trop de mobilité soit la mobilité est trop petite.

La mobilité ne concerne pas seulement la mobilité physique, mais aussi mentale et émotionnelle. Si la mobilité émotionnable n’est pas juste, la personne a l’idée de ne pas pouvoir faire des amies.

J’étais comme ça et quand je me suis devenue conscient de ça, j’ai décidé que je voulais être ma meilleure amie avant que je voulais avoir quelqu’un d’autre comme ami ou amie.

Depuis je suis indépendante, mais pas encore sur toutes les niveaux. Financial je n’ai pas encore réussi de me faire indépendante.

Mais ça aussi viendra un jour. Maintenant je m’occupe avec devenir conscient de tout ce qu’il me passe et de devenir conscient de la réaction que j’ai sur ce que j’expérience et j'ai découvert que j’aime la guerre sans mots comme ma voisine.

Depuis que j’ai commencé à écrire mes frustrations des expériences avec les traitements des patients en coma, j’ai appris à parler dans des situations émotionnelles et les mots qui viennent dans ces situations ne sont plus les même qu’avant.

Avant je ne pouvais pas sentir ce que mes mots faisaient avec les gens et maintenant je voix ce qu’il passe. Je ne peux toujours pas réagir d’une manière que tout le monde fait ce que je veux, mais le début est fait.

Le début du traitement des patients en coma doit être de les traiter comme des gens mobile. Ils ne sont pas malades et n’ont pas besoin d’être au lit plus qu’une personne mobile.

Le patient en coma a eu un accident et cet accident était un danger de mort. Il s’est mit en modus de survivre pour que tout son énergie pouvait être utilisé pour survivre.

Ce danger de mort n’est plus là mais le système du patient ne l'a pas aperçu. Il reste dans le modus de survivre et il a besoin des mouvements pour pouvoir bouger.

Ces mouvements doivent être donnés en relation avec la terre et dans le rythme du patient, avec les mots pour faire la connexion avec les pensées du patient.

Dans la méthode hpi-thérapie et les éducations des thérapeute-coma et des infirmière-coma il est instruit comment les patients en coma peuvent être aidés sur les pieds.