C’était une journée très spéciale aujourd’hui. Je ne savais pas quoi faire. Rester chez toi et renter à Münstertal où bien demander si je pouvais joindre ton copain à Dole.

Il me fallait du temps pour décider et il est parti avant que j’avais décidé. Alors, il est parti seul et moi je suis restée chez toi. Tu m’as invitée le jour avant quand tu m’as vu faire l’autostop devant ta fenêtre.

Tu étais seule et moi aussi et j’étais très heureuse d’être invité de passer la nuit chez toi. Ton copain s’en fouait. Il avait autres choses à faire que de s’occuper de nous.

Tu m’as offert du gâteau flambé que tu avais fait. J’étais bien surprît que tu avais fait ce gâteau, comme si tu m’avais attendue. J’adore les gâteaux et j’en ai mangé quelques bouts.

Comme aujourd’hui comme petit déjeuner. Ça me donne un souvenir de fête. Chez nous, à la maison il y avait seulement du gâteau quand quelqu’un avait son anniversaire.

Pendent l’année nous faisions un cake le dimanche mais pas de gâteau. Les gâteaux viendraient du pâtissier et le pâtissier toujours faisait la même faute.

Ma mère commandait un gâteau sans alcool et il avait toujours alcool dedans. Le pâtissier avait sans doute le problème d’autiste.

Il n’entendait pas le mot "sans". Pour moi, le gâteau n’avait pas un bon goût. Ton gâteau avait un bon goût pour moi, même qu’il n’était pas tout à fait bien cuit.

J’aime le gâteau au flan ou flambée, je ne sais même pas le nom propre, mais ça n’a pas d’importance. Comme chez le traitement des patients en coma.

Il n’est pas important si on sait ou ne sait pas le nom de ce qu’on fait. L’importance est, qu’on le fait. Que le patient est aidé à bouger et que ces mouvement sont faites pendent que la music sonne et pendent qu’on dit, quelle mouvement on fait avec lui.

C’est comme ça que le corps mental sera réuni avec le corps émotionnel et le corps physique de nouveau. Ces connexions doivent être en fonction pour que le patient puisse se bouger.